« Prendre la parole, c’est prendre sa place »
Prise de parole en public et face aux médias : coaching, formation et conseil
Sur le sujet de la prise de parole, vous avez surtout besoin de :
Vous voulez avant tout vous améliorer sur :
Faire gagner en impact celui qui s’exprime est mon métier. Je l’exerce depuis bientôt quinze ans, sous forme de conseil, de formation et de coaching en prise de parole.
Précédemment j’étais journaliste en radio et je désespérais trop souvent de la vacuité des propos des personnes que j’interviewais.
Pour remédier à ce manque d’efficacité mais aussi à l’inconfort et au stress de celui qui s’exprime, j’ai créé la Méthode du Losange qui permet de maîtriser la notion de message à la fois verbal et non verbal.
La méthode est applicable en toutes circonstances, en distanciel comme en présentiel, pour une intervention en réunion de travail comme en mode « grand’messe » avec slides, en communication dite « de crise », en média-training et en toute situation dans laquelle la parole porte un enjeu.
En tant que formatrice et coach en prise de parole, je connais les questions que se posent le plus souvent les dirigeants, managers et élus que j’accompagne. Je les entends s’interroger sur leur manque d’aisance et sur leurs difficultés à convaincre leurs différents publics. J’observe leurs maladresses face à la caméra en visioconférence ou lors des présentations avec slides : ils ont du mal à déployer favorablement tout leur registre d’expression non verbale : la gestuelle, le regard, et la voix.
J’apporte des réponses sur tous ces points d’amélioration, toujours au plus près de la singularité de la personne que j’accompagne, que ce soit lors de formations ou en coaching.
Vous faire gagner en impact et en aisance lors de toutes vos situations de prise de parole, est mon expertise et mon engagement de chaque instant.
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ACTUALITÉ
Votre image en tant qu’orateur
Quelle image de vous – image de marque – vous présentez à votre public lorsque vous prenez la parole ? C’était le sujet du webinaire de ce mois de mars 2023 intitulé « Soignez votre image par vos prises de parole ! ».
Ce sujet ramène au savoir-dire, différent du savoir en tant que tel. En effet, on peut être très expert sur ses sujets et piètre orateur. Ce qui est dommageable – et parfois pénalisant – pour l’orateur lui-même, mais aussi pour son entourage professionnel – son équipe, son manager – et parfois aussi pour l’entité tout entière. Dans des environnements très concurrentiels, « ça » peut se jouer à la qualité de la présentation orale…
L’image renvoyée aux autres est comme un iceberg : la partie émergée doit témoigner de la qualité de l’ensemble ; l’image doit transmettre toute la dimension de celui qui s’exprime. Ce qui n’est pas toujours le cas, loin s’en faut.
Pour mettre en place cette « qualité d’image », je propose de booster la qualité du récit. C’est elle qui donne le « la ». Pour cela, j’ai créé une Méthode – celle du Losange – qui permet de travailler sur la construction des propos. Grâce aux outils de la méthode, l’argumentaire et le fil conducteur du récit peuvent être solidement identifiés, consolidant ainsi la posture de l’orateur. Celui-ci, confiant dans la qualité de son argumentaire, va apparaître naturellement plus rassurant et plus convaincant. Son image sera bien meilleure…
Ce mécanisme de rétroaction – l’intention du récit animant le geste et la voix – est très visible dès les premiers exercices de mise en pratique face caméra. Le débriefe des vidéos permet de poser des critères objectifs de performance pour pouvoir tracer la courbe de progression de chaque champion.
La nouveauté, cette année, ce sont les parcours d’entrainement individualisés, que je construis, comme un coach, en tenant compte des besoins, des disponibilités, des appétences de chacun : tout est sur-mesure, au plus près de la personne que j’accompagne.
Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez donc me contacter facilement. Vous pouvez aussi voir ou revoir le replay en le visionnant ici.
À très vite pour la suite…
Sophie Backer
Mon métier consiste à vous accompagner sur l’optimisation de vos prises de parole, devant tous vos publics y compris vos équipes, en toutes circonstance et, le cas échéant, face aux médias.
Je vous aide à mettre en mots votre valeur ajoutée, grâce à une construction narrative structurante qui installe la posture, la gestuelle et la voix de manière assurée.
Précédemment journaliste-rédacteur en chef à Radio France Internationale, aujourd’hui expert en communication, je travaille avec et sur les mots avec passion.
Optimiser les prises de parole est mon challenge quotidien auprès de tous ceux que j’accompagne.
Mes dernières références
J’écris des articles à consulter sur le réseau social LinkedIn, à propos de la communication et des médias et beaucoup d’autres sujets.
Mon métier ce sont les mots, leurs poids et leur impact, dans les différentes situations de prise de parole y compris face aux médias. En tant que conseil en prise de parole, je travaille – et fais travailler mes « champions » – sur la construction du message. Ce qui compte le plus pour moi c’est la qualité des contenus. Un message efficace est composé d’une intention clairement identifiée et d’un registre lexical très explicite. On peut dire aussi : factuel, descriptif, visuel. C’est avec ces ingrédients qu’on fabrique des beaux contenus. Cette construction du message fonctionne à l’oral, pour toutes les situations de prises de parole, et aussi pour l’écriture des discours et pour les écrits professionnels. Et puis, il se trouve que ce goût des mots m’a amenée à l’écriture d’un roman : […]

Ma valeur ajoutée : la mesurabilité
L’efficacité d’une prise de parole se mesure. Nous le faisons, souvent inconsciemment, en tant qu’auditeur d’un discours, d’une interview, d’un propos.
Il se trouve que les nouveaux outils technologiques nous obligent, infiniment plus que par le passé, à mesurer ; puisque c’est la mesure – l’évaluation – qui va faire que nous allons continuer de lire, regarder, écouter, ou que nous allons décider de zapper.
Ces évaluations intuitives deviennent dans ma pratique d’accompagnement des éléments de mesure.
Ce que nous observons, preuves vidéos à l’appui, dans mon travail d’accompagnement à la prise de parole, c’est qu’un message clair dans la tête est clair dans son expression gestuelle.
Et que de la même façon, la confusion dans les idées s’observe – malheureusement – à l’image. Ou au son, si cela se passe en radio ou au téléphone.
Je propose donc de travailler la clarté du propos, dans sa structure et son contenu, pour que le message porte à l’image. Preuve à l’appui.
Être efficace en prise de parole
Être efficace en prise de parole ramène à la question de l’impact. En effet, la question est la suivante : quelle trace est capable de laisser l’orateur sur son public ?
L’impact n’est jamais neutre : l’orateur laisse un souvenir de lui ou pas. S’il laisse un souvenir, ce dernier est-il positif ou négatif ? Là non plus, pas d’entre deux.
La prise de parole est donc un exercice extrêmement exigeant, dans un nouveau monde où l’auditoire est devenu impatient, impertinent et zappeur.
Saturé de datas du fait de l’usage des outils technologiques, son rapport à celui qui s’exprime est très différent de ce qu’il était jusque dans les années 80.
Aujourd’hui, pour accrocher son public et le garder avec lui, l’orateur se doit d’être à la hauteur des enjeux auxquels il fait face : gagner un marché, convaincre des donneurs d’ordre, rétablir une notoriété après une crise ou tout simplement emporter l’adhésion d’une assemblée pour pouvoir face avancer un projet, valider une décision, sauver une entreprise ou en créer une nouvelle…
Relever tous ces défis ne peut se faire sans un minimum de technique narrative.
Car il s’agit de faire, court, clair et concret pour pouvoir être écouté, entendu, compris, retenu et suivi. C’est aussi la règle face aux médias : les clés de construction des messages sont indispensables pour savoir gérer les interviews et devenir un porte-parole efficace et de confiance.
Efficace et impactant : la règle des 3C
Court : plus votre propos est court et plus votre auditoire vous en sait gré. Rien que pour cela, il a envie de vous suivre. Evidemment, faire court suppose de savoir amener du contenu.
Clair : être clair dans son récit signifie que l’auditoire suit la présentation qui lui est faite sans difficulté. Tout propos, même technique, peut être délivré de manière claire et facile d’accès. C’est même une obligation, dans un monde complexe, d’être capable de rendre tout sujet accessible sans le déprécier.
Concret : la dimension factuelle du récit constitue l’une des deux clés majeures de la Méthode du Losange. En effet, les faits sont toujours concrets : à ce titre, ils sont incontestables et contribuent, lorsqu’ils sont énoncés, à installer la crédibilité de celui qui s’exprime.
Quels bénéfices ?
Gagner en efficacité, en temps, en argent.
Avec la Méthode du Losange, les orateurs travaillent les différentes composantes d’un message efficace dans le même élan. Ce qu’on appellerait le « 3 en 1 », c’est-à-dire le verbal, le visuel et le vocal, guidés par la même intention.
La Méthode du Losange permet d’identifier cette intention structurante et de la porter dans la démarche d’expression à l’oral.
Ainsi, les participants à nos formations gagnent en temps d’apprentissage. Les améliorations sont visibles immédiatement, images vidéo à l’appui.
Les bénéfices augmentent naturellement dans le temps. La formation permet la prise de conscience de certaines clés d’efficacité, tellement évidentes qu’une fois révélées, elles guident en permanence l’orateur qui souhaite s’améliorer.
Par exemple, la prise de conscience qu’une posture incertaine diminue la crédibilité de l’orateur. La Méthode du Losange permet de travailler la performance de l’orateur dans sa dimension visuelle – ce qui se voit de lui – pour apparaître crédible et renforcer ainsi sa légitimité et sa capacité à convaincre.
Enfin, le temps gagné en apprentissage permet aussi de gagner sur l’investissement financier.
Les 3 composantes d’un message efficace

Être à l’aise en prise de parole
Le manque d’aisance en prise de parole est un obstacle pour de très nombreuses personnes. Beaucoup se disent timides ou avec peu d’appétence pour l’expression orale.
Les mains qui tremblent, le corps qui se dandine, la voix qui s’étrangle, le souffle court, sont autant de symptômes perceptibles du malaise de celui qui s’exprime.
Les symptômes moins visibles sont les nuits sans sommeil, le besoin d’alcool ou d’autres stimulants avant une échéance importante, ou l’évitement, qui consiste à déployer des stratégies pour ne pas se retrouver en situation d’intervenir en public.
Pourtant, l’évolution du monde du travail met de plus en plus de personnes en situation de devoir prendre la parole alors que dans le temps d’avant, ce « privilège » était réservé à certains.
Les réunions de travail, les entretiens d’embauche ou d’évaluation, la remontée d’un sujet au Codir, l’intervention dans une assemblée – un conseil municipal ou l’AG des copropriétaires – sont autant de situation, désormais très nombreuses, qui appellent, toutes, des prises de parole courtes, claires, et concrètes.
Le stress de la prise de parole – la glossophobie – provient de deux facteurs : la peur du jugement des autres et la peur de ne pas savoir « dérouler » son propos correctement. Car il existe une grande différence entre « savoir » et « savoir dire » et c’est justement cette différence qu’il convient de maîtriser.
En effet, on redoute le regard des autres sur soi quand n’est pas assuré de la qualité des propos qu’on tient. Et pour garantir cette qualité, il existe des techniques de construction narrative : nous avons créé pour cela la Méthode du Losange.
L’acquisition de la Méthode procède d’un accompagnement qui peut être comparé à un coaching de sportif : c’est pour cela que j’aime appeler « champions » les personnes que j’aide à développer leurs compétences d’orateur.
La notion de point d’appui
La prise de parole est une affaire de point d’appui.
Généralement, personne ne rencontre de difficulté particulière à répondre à une question : c’est qu’en face se trouve quelqu’un sur qui on peut « adosser » son récit.
Cependant, dans trois situations-types le point d’appui fait défaut à celui qui s’exprime : face à une foule nombreuse, face à un auditoire hostile ou récalcitrant et face à la caméra qui, en tant qu’objet, n’interagit pas avec l’orateur. La Méthode du Losange a été créée pour ces situations-là.
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