Aujourd’hui, on pitche un projet, une idée, un CV. Aujourd’hui aussi, on va parler de storytelling à propos d’un discours réussi. Ces deux termes – pitch et storytelling – désignent les nouvelles modalités narratives, courtes, claires, accrocheuses.
La Méthode du Losange contient tous les outils pour construire des propos en mode pitch, c’est-à-dire avec une accroche forte, qui embarque d’emblée l’auditoire.
La Méthode du Losange permet également de construire du « storytelling ».
Les « stories », que nous préférons appeler des « illustrations », sont comme des coups de projecteur braqués sur telle ou telle partie d’un récit. Le principe de l’« illustration » doit être compris au sens visuel du terme. En effet, plus le récit suscite des images mentales auprès du public, plus il est impactant.
La dimension visuelle du récit
On sait que 55% d’impact du récit est visuel : l’auditoire comprend d’abord avec ses yeux en observant, parfois même sans s’en rendre compte consciemment, la posture, la gestuelle, les mimiques, le regard, le code vestimentaire, de celui qui s’exprime.
Cet impact visuel passe aussi par les images mentales provoquées par le récit de l’orateur. D’autant que plus le récit est imagé, plus le registre d’expression corporel de l’orateur va naturellement se déployer. Le texte et l’image alliés : c’est le meilleur moyen d’avoir le maximum d’impact sur son public.