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Vous connaissez évidement vos sujets sur le bout du doigt mais vous sentez que vos arguments ne font pas mouche lorsque vous vous exprimez à l’oral. Vous constatez que vos idées ne passent pas. Vous vous impatientez de voir qu’on n’entend pas la solution que vous avez imaginée et que pourtant vous proposez à chaque réunion…

C’est sans doute que vous ne tournez pas vos propos d’une façon qui soit entendable – « captable » – par vos interlocuteurs. Par exemple, vous vous exprimez peut-être en mode « diesel » – lent au démarrage. Ou bien, vous avez le sentiment de vous éparpiller, que vos idées partent dans tous les sens…

Et vous, quelles difficultés rencontrez-vous pour vous faire comprendre ? Nous pouvons en parler ensemble : pour cela prenez rdv ici

Le manque d’impact à l’oral n’a rien à voir avec vos aptitudes intellectuelles, ni avec celles de ceux qui écoutent. Simplement tous les cerveaux ne sont pas « câblés » de la même manière : c’est un fait incontestable, chacun voit le monde à sa manière.

Les techniques de construction de message que nous proposons ici avec la Méthode du Losange permettent justement de se faire entendre par le plus grand nombre, sans dénaturer l’intention de l’orateur.

Elles ont été développées en tenant compte du changement de paradigme majeur intervenu ces dernières décennies : l’auditoire n’écoute plus comme « avant ». Il est devenu impatient, impertinent et zappeur. De ce fait, le challenge pour celui qui s’exprime est de savoir gérer cet état de fait et d’imposer son récit par la valeur ajoutée de ce qu’il énonce.

Aujourd’hui, l’orateur doit être accrocheur au démarrage, intéressant tout au long du récit, très clair en clôture, court et concret : ce qu’on appelle un pitch dans le jargon de la prise de parole et que permet de faire la Méthode du Losange.

L’auditoire : quels changements de paradigme ?

Les comportements de tout un chacun changent vers la fin des années 80 avec l’apparition de l’individualisation. Ce phénomène, très documenté par les psycho-sociologues, a pour effet de modifier le rapport à l’autorité et, en l’occurrence, le rapport à l’autorité de celui qui s’exprime.

On ne l’écoute plus avec la même déférence que par le passé. L’arrivée d’Internet en 2000, puis du smartphone environ dix ans plus tard, a pour conséquences de « saturer la bande passante ». Chaque orateur est désormais en concurrence permanente avec ce qui se passe sur la toile.

C’est un changement majeur, paradigmatique, sur le sujet de la prise de parole.

les contenus pour une prise de parole efficace