Les dirigeants ne sont pas suffisamment préparés à prendre la parole quand la crise survient : c’est un constat que font tous les consultants en communication, en particulier ceux qui travaillent sur la prise de parole.

Or, aujourd’hui, les crises sont plus nombreuses et donc, mécaniquement, le risque réputationnel est plus grand et plus fréquent. Je ne parle pas ici uniquement des événements dramatiques, par exemple ceux liés au changement climatique – inondations, incendies, canicules –, qui obligent les personnes en responsabilité à prendre la parole pour donner des consignes et rassurer les citoyens.

Je ne parle pas non plus seulement des accidents industriels – le déraillement d’un train à Brétigny-sur-Orge en 2013, l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen en 2019, les pizzas contaminées Buitoni en 2022 – : autant d’événements qui ont obligé les patrons de ces entreprises à s’expliquer publiquement.

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