La prise de parole est une affaire d’énoncé. De prononcé. De mots qui franchissent des lèvres. Pour porter du sens….
Ces éléments de base, qui paraissent relever du simple bon sens, sont en fait trop peu considérés habituellement.
C’est probablement dû à une cruelle absence d’oralité dans les parcours éducatifs. Le prof parle mais l’élève doit se taire, sinon pour réciter une leçon apprise par cœur. Rien à voir avec la prise de parole au sens de l’expression de soi.
De quoi parle-t-on ?
Dans l’exercice de mon métier, je suis frappée de constater le nombre élevé de personnes à qui manque la maîtrise de leurs mots, phrases, énoncés, dans l’exercice de la parole dite publique, c’est-à-dire à voix haute. L’écrit ne leur pose pas de problème mais la conscience de ce qu’elles profèrent est faible : ça « sort » comme ça peut…

Je mets ce phénomène en évidence très concrètement au détour des exercices de prises de parole que je propose lors de mes sessions d’accompagnement.

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