Mesurer l’efficacité d’une prise de parole – ou sa non-efficacité – est le meilleur moyen de savoir d’où l’on part et de pouvoir progresser en tant qu’orateur.
Or, le plus souvent, par inconfort avec l’image de soi ou par paresse intellectuelle, on préfère éviter de se poser la question. D’ailleurs, on a le sentiment de faire du mieux possible : donc, si ça ne marche pas, c’est la faute à pas de chance…. Ou à cause des autres qui ont mal écouté…

C’est ainsi qu’on repousse le moment de prendre le taureau par les cornes et qu’on s’empêche d’améliorer l’impact de ses prises de parole…

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